Le projet « renforcement des compétences numériques des jeunes en milieu scolaire » en activités extrascolaires vise à développer l’inclusion numérique du jeune public dans les écoles et les quartiers défavorisés de Bruxelles.
L’initiative entreprise par l’Espace Public Numérique Mobile (EPNM) a touché 8 établissements scolaires de la Ville de Bruxelles ainsi que notre école de devoirs.
Réalisé en partenariat avec Bruxelles Enseignement, le projet soutenu par la Fondation Roi Baudoin à travers PC Solidarity (DigitalForYoung) a bénéficié également d’une subvention de Digital Belgium Skills Found et de la Cohésion Sociale ( COCOF).
Les écoles partenaires du projet sont : le Congrès Dachsbeck, l’école du Canal, Les Éburons, Steyls, Adolphe Max, Reine Astrid, Émile Bockstael et l’Allée Verte et l’école de devoirs « Notre-Dame-Aux-Neiges ». Au sein de chaque structure d’accueil, deux groupes de 12 à 15 participants répartis en A et B ont été mis en place excepté à Adolphe Max où il y a eu un troisième groupe.
Ce sont pour la plupart des élèves de 5 et 6ème année primaire qui sont concernés par le projet et leur niveau d’appropriation de l’outil informatique a prouvé leur aptitude à développer des contenus pédagogiques à la fois analytiques et créatifs.
À travers le dispositif de l’EPNM à vocation itinérante, chaque établissement partenaire a bénéficié de 20 séances à raison d’un atelier par semaine.
En raison des circonstances consécutives à la Covid-19 dont les protocoles sanitaires étaient réadaptés régulièrement par les écoles et les structures d’accueil de jeunesse, les activités ont été souvent perturbées.
Le sentiment anxiogène et l’incertitude consécutive à la situation sanitaire a eu d’importantes répercussions aussi bien sur le personnel d’encadrement et les participants.
Très souvent ce sont des fermetures d’écoles ou de classes dues à des cas de contaminations et par conséquent les séances sont, soit annulées soit reportées.
Le temps de réalisation du projet ne couvrant que la période de janvier à juin, nous ne disposions que d’une faible marge de manoeuvre pour reprogrammer certaines séances.
En dépit de ce statu quo, l’agenda des activités a été respecté et les résultats se sont révélés satisfaisants comme en attestent ces chiffres.